Le 5 avril au soir, un agent de la police municipale de Fréjus a été violemment agressé, blessé et menacé de mort lors d’une intervention. Cet agent a fait l’objet de 5 jours d’incapacité temporaire de travail pour avoir fait, tout simplement, son métier de maintien de l’ordre public et de protection des populations.
Je tiens tout d’abord à lui souhaiter un bon et prompt rétablissement au nom de la ville de Fréjus.
De tels agissements, qui hélas se répètent de plus en plus souvent dans notre pays, ne sont pas un « sentiment », n’en déplaise à certains de nos ministres. Ils sont la réalité vécue par nos forces de l’ordre, régulièrement prises à partie par certains délinquants qui se croient au dessus des lois de la République. Ces dérives ne peuvent davantage être tolérées, et doivent être fermement combattues. Par des interpellations certes, mais surtout par des condamnations pénales. La peur doit changer de camp. Et pour cela, la justice doit être implacable.